Atelier virilisme et luttes sociales

Le 31 mars 2012 de 15h à 18h au Centre Culturel Libertaire aura lieu un atelier sur le thème du virilisme dans les luttes sociales, proposé par le GDALE.
Comment définir le virilisme ? Comment et quand se manifeste-t-il dans les différents aspects des luttes, que ce soit lors des actions, des manifs, des prises de paroles, des assemblées générales ?
Est-ce forcément négatif ? Qui l’utilise et pourquoi ?
Voilà quelques-unes des questions que nous aborderons durant cet atelier, à partir de vidéos, de textes et de nos vécus.

Samedi Noir #7 [Annulé, sauf si vous l’organisez]

[Attention : finalement pas de Samedi Noir au mois d’avril – en tout cas pas organisé par le Gdale – mais si vous avez envie que ça se tienne quand même, n’hésitez pas à l’organiser, on corrigera l’annonce !]

 

Le prochain Samedi Noir n’aura pas lieu le samedi 7 avril de 15h à 18h au Centre Culturel Libertaire, 4 rue de Colmar à Lille, métro Porte des Postes.

Le Samedi Noir est ouvert à toutes les personnes intéressées par les idées et activités anarchistes et libertaires. Nous y discuterons autour d’un thé ou d’un café des luttes qui se mènent ou seraient à mener dans la région. Ce sera l’occasion de demander ou de proposer des coups de mains pour réaliser des actions ou les faire connaître.

Comme tous les samedis, la bibliothèque sera ouverte.

Organisé par le GDALE-CGA

[Entrée Libre]

Soirée autour du recueil « Un troussage de domestique » – lundi 19 mars 2012

Une soirée autour du recueil « Un troussage de domestique » – qui rassemble des analyses féministes sur la misogynie et l’arrogance de classe dont ont fait preuve les « amis » de Dominique Strauss-Kahn après son arrestation – aura lieu le 19 mars 2012 au Cinéma associatif L’Univers,  organisée par le GDALE et Les Flamands Roses. Le recueil sera présenté et alimentera le débat qui portera sur la permanence des violences sexistes et sexuelles, et comment les combattre dans une société qui les caricature et les invisibilise.

Ouverture des portes à 18h30. Prix libre.

À 19h : Conférence et Débat avec Natacha Henry et Sylvie Tissot, contributrices du recueil ainsi que Anne Turlure, membre de L’Échappée, association lilloise contre les violences sexistes et sexuelles.

À 21h : Projection du film documentaire « Le Viol : Anne, Corinne, Annie, Brigitte, Josyane, Monique et les autres… » de Carole Roussopoulos, Corine Happe, Anne Rizzo, 1978, 55min.

La discussion se poursuivra pendant et après le film. Le journal La Brique sera également là pour présenter le dossier de son dernier numéro : « Le viol, la destruction pour certaines, la menace pour toutes ». Ce sera également l’occasion de prendre contact avec les écoutantes de l’association L’Échappée.

« Un troussage de domestique » a été coordonné par Christine Delphy et publié en 2011 aux éditions Syllepse dans la collection Nouvelles Questions Féministes.

Natacha Henry est historienne et essayiste, notamment auteure de « Frapper n’est pas aimer, enquête sur les violences conjugales en France », Paris, Denoël, 2010.

Sylvie Tissot est sociologue, membre du collectif Les Mots Sont Importants.

Infotour & Concert de soutien au réseau No Border le 16 mars 2012 au CCL

Alors que s’élance au départ de lille un infotour francophone et plus à travers l’hexagone, la suisse et la belgique voire plus, le 16 mars c’est soirée de soutien à Noborder organisée avec le gdale au Centre Culturel Libertaire.

Ouverture à 20h avec l’infotour Noborder pour s’informer sur la lutte les frontières à Calais, sur les deux prochains camps NoBorder à Stockholm en suède et à Düsseldorf et Cologne en allemagne, et sur la construction de l’europe forteresse, notamment via son agence de militarisation des frontières contre les migrant-es frontex-.

Ensuite les groupes La Tête Ailleurs (Chanson Française/Fusion) à 21h30 et La société elle a mauvaise haleine (AnarkoPunk) à 22h30.

Pour finir, boeuf à une heure encore indéterminée, et selon les instruments que vous aurez apporté.

Entrée à prix libre contre les frontières !

No Border, fondé vers 2000, est un réseau associatif européen qui lutte pour la liberté de circulation entre les différents pays et plus particulièrement contre les politiques de contrôle de l’immigration au sein de l’Espace Schengen. No Border lutte pour la régularisation des étrangers en situation irrégulière, la fermeture des centres de rétention administrative et l’abolition des frontières.

Samedi Noir #6

Le prochain Samedi Noir aura lieu le samedi 3 mars de 15h à 18h au Centre Culturel Libertaire, 4 rue de Colmar à Lille, métro Porte des Postes.

Le Samedi Noir est ouvert à toutes les personnes intéressées par les idées et activités anarchistes et libertaires. Nous y discuterons autour d’un thé ou d’un café des luttes qui se mènent ou seraient à mener dans la région. Ce sera l’occasion de demander ou de proposer des coups de mains pour réaliser des actions ou les faire connaître.

Comme tous les samedis, la bibliothèque sera ouverte.

Organisé par le GDALE-CGA

[Entrée Libre]

 

Samedi Noir n°5

Le prochain Samedi Noir aura lieu le 4 février de 15h à 18h au Centre Culturel Libertaire, 4 rue de Colmar à Lille, métro Porte des Postes.

Le Samedi Noir est ouvert à toutes les personnes intéressées par les idées et activités anarchistes et libertaires. Nous y discuterons autour d’un thé ou d’un café des luttes qui se mènent ou seraient à mener dans la région. Ce sera l’occasion de demander ou de proposer des coups de mains pour réaliser des actions ou les faire connaître.

Comme tous les samedis, la bibliothèque sera ouverte.

Organisé par le GDALE-CGA

[Entrée Libre]

 

Rassemblement antifasciste

Comme tous les ans, les identitaires d’extrême droite, le collectif « Lille est nôtre » vont célébrer lors d’une marche aux flambeaux dans les rues du Vieux Lille leur icône historique locale : la Lilloise Jeanne Maillotte, Dimanche 29 janvier à 18h.

Le collectif antifasciste de Lille invite donc tous les militants et organisations luttant contre la gangrène fasciste à rejoindre la mobilisation de riposte antifasciste dimanche 29 janvier à 16h au métro Rihour pour un rassemblement.

Rassemblement du Service d’Ordre : Dimanche à 15h au métro Rihour.

Les organisations sont invitées à envoyer leurs membres voulant participer au SO pour se coordonner.

Pour plus d’informations :

Plus précisément, c’est Opstaan (organisation de jeunesse de la sinistre maison flamande de Lambersart), qui organise cette marche. Pourtant, sur les tracts et affiches, Opstaan n’apparaît pas et se fond derrière un récent collectif,  » Lille est nôtre », présenté comme l’organisateur du défilé.

Jeanne Maillote est une figure mythifiée de Lille récupérée par les identitaires. Elle a sa statue, devant le Palais de Justice, en bas de laquelle on peut lire « Héroïne lilloise ». Il n’y a pas de trace de cette personnalité dans les livres d’histoire mais aujourd’hui, la voilà brandie à des fins politiques et le collectif « Lille est nôtre » l’actualise en parlant de « résistance locale » face « aux ravages de la mondialisation et de l’extrémisme religieux ». Le public principalement ciblé étant les catholiques traditionnalistes.

Projection de « QHS et Rébellion »

Projection de « QHS et Rébellion », court-métrage sur le quartiers de haute-sécurité de la prison de Liège et les luttes dans l’univers carcéral en Belgique, proposée par le GDALE.

Jeudi 2 Février à 20h au Centre Culturel Libertaire, 4 rue de Colmar à Lille, métro Porte des Postes.

« En juin 2008, un module d’isolement ouvrait dans la prison de Bruges, Belgique. C’était la réponse de l’État face aux multiples rébellions, évasions et émeutes qui avaient échauffé bien des coeurs à l’intérieur qu’à l’extérieur de la prison.

Le quartier de haute sécurité (QHS) : dix cellules individuelles contenant le strict minimum, deux cachots, une quarantaine de matons et des « blouses blanches » — médecins, psychiatres, psychologues, infirmiers. Le but : briser les détenus récalcitrants. L’État y impose un régime sévère, utilisant la torture physique et mentale, administrant drogues légales et injections. Les détenus y sont enfermés de quelques mois à un an (voire plus) pour briser tout esprit rebelle, faire avaler les fables du ’bon chemin’ et de la bonne conduite et éviter les rébellions possiblement contagieuses en écartant les soi-disant meneurs.

Nous voulons rappeler la résistance de l’intérieur que ce lieu infect a connu depuis ses débuts et, à la fois, encourager une lutte contre l’isolement, partie intégrante d’une lutte plus globale contre la prison et les différentes formes d’oppression et de privation de liberté. Une lutte qui ne se réduit pas à demander des améliorations du régime pénitentiaire, qui ne demande rien à un État mettant tout en oeuvre pour maintenir les rapports sociaux d’oppression et éteindre les feux de la
révolte.

Aujourd’hui, la résistance dans les prisons se situe toujours sur le fil du rasoir. Le désir de liberté ne se laisse pas facilement contrecarrer. Des évasions toujours plus violentes sont la réponse aux mesures de sécurité croissantes, la violence contre les matons répond à l’arrogance de ceux qui se cachent derrière la toute-puissance de leurs syndicats. Une violence qui se dirige clairement contre l’oppresseur et qui reste, après tout, relative dans le contexte de l’enfermement et des humiliations
quotidiennes. »

 

Soirée No Border – Projection de 9ter – vendredi 20 janvier 2012

Une projection de 9Ter, suivi d’une discussion avec Céline Darmayan et Origan Cannella, auront lieu le Vendredi 20 Janvier, à 20h30 au Cinéma l’Univers, 16 rue Danton à Lille.

9 TER en quelques mots : 
En Belgique, l’article 9ter de la loi du 15 décembre 1980 autorise une personne étrangère à demander un titre de séjour, si elle souffre d’une maladie entraînant un risque réel pour sa vie. Pour beaucoup de personnes sans-papiers, cet article est la seule solution pour accéder à un statut légal.
A Bruxelles, en mars 2009, plus de 1000 personnes décident d’entamer une grève de la faim pour rentrer dans les conditions de cet article.
Au sein de l’occupation de l’université Saint-Louis, les 60 occupants hésitent à franchir ce cap.
Ce film nous emmène à la rencontre d’hommes et de femmes qui sont confrontés à ce choix : mettre ou non leur vie en danger pour obtenir des papiers.

Bar et petite restauration sur place – Proposé par le GDALE et à l’initiative de No Border